L’approche méthodologique retenue est résolument pluridisciplinaire puisque l’unité regroupe des spécialistes de 10 sections CNU (9, 10, 11, 15, 17, 20, 21, 22, 23 et 70) qui recouvrent de larges domaines des arts, lettres, langues et sciences humaines et sociales.
Tous se fixent pour objectif de problématiser et d’analyser la Nouvelle-Calédonie et les territoires de son environnement pacifique à partir d’outils et méthodes propres à chacune de leurs disciplines, en développant la complémentarité de leurs travaux dans le cadre des axes de l’équipe.
Les historiens, historiens d’art, archéologues, ethnologues, sociologues, littéraires, philologues, philosophes, anglicistes (entre autres) qui participent aux travaux de TROCA entendent mettre leur expertise au service d’une analyse synchronique et diachronique des stratégies discursives, des échanges et contacts entre territoires et des questions d’altérité et de domination.
L’objectif ne peut être une juxtaposition de travaux sans cohésion d’ensemble. Il est donc indispensable pour parvenir à une dynamique féconde de s’appuyer sur des axes problématiques transversaux permettant d’inscrire les membres dans une recherche intégrée où chacun contribue à un éclairage collectif.